Paramahansa Yogananda

 

  Paramahansa Yogananda est né le 5 janvier 1893 à Gorakhpur, dans le Nord de l’Inde.

 

Il devint moine de l’Ordre des Swamis peu après avoir terminé ses études à l’Université de Calcutta en 1915. En 1917, il commença à accomplir l’oeuvre de sa vie en fondant une école – à Ranchi dans le Bihar – basée sur les principes du yoga. Les matières officielles y étaient enseignées en même temps que les principes essentiels de la vie spirituelle. Il existe aujourd’hui de nombreuses écoles fonctionnant sur ce modèle dans toute l’Inde.

En 1920, il fut invité pour représenter l’Inde au Congrès International des Religions qui se tint à Boston, aux États-Unis. Son intervention, « La Science de la Religion », fut remarquable et inspirée.

La même année, il fonda la SRF – Self-Realization Fellowship. Cette organisation internationale (dont le pendant en Inde est la Yogoda Satsanga Society of India) a pour mission de transmettre les enseignements et la philosophie du Yoga et la richesse de la méditation. A travers ces enseignements, elle désire aider les hommes et les femmes de toutes races et de toutes religions à réaliser et à exprimer pleinement dans leurs vies la beauté, la noblesse et la divinité de leur âme.

Pendant plus de 30 ans, Yogananda vécut et enseigna aux États-Unis. Il compte aujourd’hui des milliers de disciple à travers le monde. Son œuvre écrite est très dense et est traduite dans la plupart des langues…sauf en France où les chercheurs ne connaissent souvent de lui que son « Autobiographie d’un Yogi ». Dans ce best-seller de la littérature spirituelle, il retrace le chemin de sa réalisation et de sa mission de maître spirituel.

La découverte de l’Inde

En 1978 – année importante puisqu’elle correspond à ma rencontre avec Germaine Holley d’abord et avec Dane Rudhyar ensuite – les circonstances de la vie me conduisirent en Inde.

Depuis que j’avais découvert le Chemin, quelques années auparavant, la place de l’Inde devenait de plus en plus importante en moi. Tout naturellement, tout ce qui touchait à ce pays m’attirait et me fascinait.

Dans ma soif de connaissance et de réalisation, j’avais d’abord abordé le bouddhisme sous ses différentes formes, particulièrement le bouddhisme zen et le bouddhisme tibétain. Le bouddhisme zen à travers la lecture des « Essais sur le Bouddhisme zen » de D.T. Suzuki ou encore à travers l’œuvre d’Alan Watts, figure majeure de la contre-culture américaine qui me nourrissait comme bien d’autres de ma génération. « L’esprit du Zen » ou encore « Psychothérapie orientale et occidentale » ont été des éléments importants de ma réflexion et de ma quête tout comme d’ailleurs les autres ouvrages de Watts, qui, s’ils ne parlaient pas directement du zen en tant que tel, en étaient des applications : « Amour et connaissance », « Bienheureuse insécurité », par exemple. Chögyam Trungpa m’initia au bouddhisme tibétain (« Pratique de la voie tibétaine »).

Comme beaucoup, cette attirance pour la spiritualité qui parlait à mon âme se manifesta par le besoin d’étudier toutes les approches dans les différentes cultures, tant il me semblait évident qu’au-delà des formes et des lieux, elles répondaient au même besoin fondamental de chaque être humain : la réalisation de soi et la libération. Le bouddhisme donc, mais aussi le christianisme (dans sa dimension ésotérique), le taoïsme, l’ésotérisme, etc. De même, tout autant que dans l’Astrologie, je plongeais dans l’étude des Tarots, de la numérologie, du Yi King…

Cependant, devant ce foisonnement, je sentis qu’il me fallait m’engager dans une voie. « Qui trop étreint, mal embrasse » dit le proverbe, maintes fois cité par Charles Vouga dans ses conférences. A force de toucher à tout, le risque est de se perdre et de rester à la surface. Bien que j’ai toujours continué à m’imprégner de toutes les philosophies spirituelles comme de toutes les formes de psychologies ou d’ésotérismes, l’Inde s’imposa à moi, tout comme l’Astrologie au niveau des outils.

Le symbolisme de l’Astrologie, quand je l’ai découvert, m’était familier et plus je m’y plongeais, plus je me sentais en pays de connaissance. Quand je lui avais fait part de ce sentiment, Germaine Holley m’avait dit en me montrant à quoi cela correspondait dans mon thème : « Vous êtes un vieil astrologue, vous ne faîtes que retrouver ce qui est en vous ».

Ce même sentiment m’habitait quand je m’immergeais dans la philosophie de l’Inde, l’hindouisme et les différentes formes de yoga. Les concepts étaient instantanément clairs et évidents dans mon esprit et les mots sanskrits me parlaient sans effort. J’avais l’impression que ce que je lisais faisait partie intégrante de moi-même, à un niveau quasiment cellulaire. Je lisais tout ce que je pouvais trouver à cette époque où il n’y avait pas encore l’immensité des publications que l’on trouve aujourd’hui.

Les Maîtres indiens

Ma soif d’apprendre et de savoir était insatiable. Tout ce qui parlait de l’Inde, de l’hindouisme, des différents yogas, m’attirait comme un aimant et quand je lisais, mon âme était baignée de lumière et mon être tout entier était rempli de joie. Quelques années après avoir démarré consciemment la quête, je retrouvais avec bonheur chez Rudhyar les mêmes concepts concernant l’évolution de la conscience et la réalisation du Soi. Et Rudhyar proposait une Astrologie de l’éveil, de la conscience et de la transcendance. Je sus alors que j’avais trouvé l’Astrologie qui correspondait à ma quête intérieure.

Avant cette confluence, je menais parallèlement mes études en Astrologie et ma recherche à travers les différentes spiritualités, principalement le yoga et l’hindouisme donc. Un des pionniers, en France, de cette rencontre entre l’Orient et l’Occident, fut Jean Herbert. Ses livres ainsi que ceux de certains grands maîtres qu’il fit publier nourrirent ces retrouvailles avec cette partie de moi-même qui était en résonance avec les grands espaces de la conscience. Swami Ramdas, Ramana Maharshi, Ramakrishna et son disciple Vivekananda (auxquels Romain Rolland consacra deux biographies), Sri Aurobindo et d’autres encore furent des lumières qui éclairèrent mon chemin. Arnaud Desjardins me fit découvrir Swami Prajnanpad et son approche m’apparut éminemment pratique. Car l’un des grands problèmes qui se posent à nous, quand nous foulons le Chemin, est de mettre en pratique dans notre vie quotidienne tous ces enseignements que nous recevons. Parfois, nous croyons être arrivé simplement parce que les concepts nous apparaissent clairs dans notre esprit, ce qui est déjà un premier pas. L’Astrologie Transpersonnelle nous aide dans ce cheminement en nous permettant de comprendre, à travers le dialogue que nous avons avec la personne qui consulte, l’étape dans laquelle elle se situe.

L’Inde

Quelques temps avant de partir en Inde, je lisais « A la Recherche du Soi » d’Arnaud Desjardins. Je me sentais parfaitement en accord avec l’enseignement de Swami Prajnanpad et mon désir était de rencontrer un tel Maître. A un moment donné, Arnaud Desjardins parlait de l’ashram de Swami Prajnanpad qui se trouvait à Namkun, dans la banlieue de Ranchi. Je me précipitais sur la carte de l’Inde et finissait par dénicher Ranchi, dans le Bihar, à peu près à mi-chemin entre Bénarès et Calcutta. Je devais atterrir à Bombay et après je ne savais où aller. Je me fixais comme point d’arrivée Ranchi au cas où je n’aurais pas trouvé avant ce que j’étais venu chercher.

Lorsque je débarquais à Bombay, je fus aussitôt pris dans le tourbillon de l’Inde. C’est comme si j’avais reçu un coup sur la tête et je me retrouvais hagard, perdu, n’ayant plu de points de repère. Au fil des jours, je suivis l’itinéraire que je m’étais fixé, remontant progressivement vers le Nord au gré des rencontres et des échanges. Mais j’avançais comme si j’étais dans un monde irréel et tout ce que je faisais me coûtait énormément. Je faisais tout ce périple avec la femme que j’avais rencontrée à Paris. C’est elle qui m’avait décidé à venir en Inde. Son fils, alors âgé de 6 ans, était avec nous. Les rapports avec cette femme, qui avait été relativement harmonieux avant notre départ, se transformèrent en une véritable confrontation dès notre arrivée à Bombay. Au fur et à mesure que nous poursuivions notre route, notre relation se dégradait et devenait violente. Mais nous n’arrivions pas à nous séparer tant le fait de se retrouver seul dans cet immense pays, totalement étranger à nos modes de fonctionnement occidentaux, nous semblait difficile. Paradoxalement, alors que j’étais pris dans cette tension et dans cette perte de moi-même, je me sentais dans un lieu connu : tout m’était étranger et pourtant tout m’était familier. Au-delà du drame que je vivais, je découvrais une force qui dormait en moi et qui ne s’était jamais exprimée jusqu’à présent. Dans ce pays magique, je vivais l’une des initiations majeures de ma vie : je naissais à moi-même à travers toute la spiritualité qui imprégnait cette contrée.

C’est ainsi que nous remontèrent vers le Nord puis bifurquèrent vers l’Est. De ville en ville, la magie opérait. Après de multiples péripéties, nous arrivèrent à Bénarès, la ville sainte. Malgré la beauté de la ville et sa richesse spirituelle, nous nous fîmes arnaqués une fois de plus par un individu se prétendant yogi et qui venait tous les matins nous faire méditer.

Nous partîmes pour Ranchi qui se trouve en dehors de tout circuit touristique. Nous arrivèrent alors que la nuit était déjà tombée et nous attendîmes le lendemain pour aller à Namkun. Les rickshaws nous laissèrent dans un tout petit village à une demi-heure de Ranchi. Personne n’avait jamais entendu parler de « Swamiji », le mieux serait de nous adresser au collège voisin où la bourgeoisie de Ranchi envoyait ses enfants. Le directeur nous reçut chaleureusement, ravi de prendre le tchai avec des Occidentaux. Puis il nous dit que l’ashram que nous cherchions était sans doute celui qui était à Ranchi, près de la gare, car il savait que des « westerners » s’y rendaient et le swamiji dont nous parlions recevaient des « westerners ». Il mit son chauffeur à notre disposition et nous voilà repartis sur Ranchi. Il nous conduisit jusqu’à l’ashram en question dont il franchit l’enceinte en klaxonnant à tout va.

J’avais à peine mis les pieds dans l’ashram que je sus que j’étais arrivé à destination. Moi qui était si tendu depuis mon arrivée en Inde, si angoissé, je sentis soudain la paix descendre en moi. Nous fumes accueillis par un Swami américain qui nous dit qu’il ne connaissait pas le Swamiji que nous cherchions. Ici, nous étions à l’ashram créé par Yogananda en 1918.

 


Ranchi

 

Rencontre avec Yogananda

Swami Bhavananda nous raconta l’histoire de Yogananda et nous expliqua la nature de son enseignement. C’était exactement ce que je recherchais. Il émanait du Swami une telle paix et une telle lumière en même temps qu’une telle joie intérieure que je me sentis transporté dans une autre dimension de moi-même. Il me dit que peut-être c’était l’enseignement que je recherchais, peut-être pas. Le meilleur moyen de le savoir était de passer quelques temps à Ranchi et, éventuellement, de participer aux exercices et aux méditations du matin et du soir. Il me conseilla de lire l' »Autobiographie d’un Yogi » pour avoir une approche de Yogananda et du Kriya Yoga. C’est ainsi que je rencontrais Yogananda et que je commençais mon chemin dans le Kriya Yoga.

Je restais tout le reste de mon séjour en Inde à Ranchi où nous avions loué une dépendance dans le jardin de la maison d’un magistrat de la ville. C’était notre port d’attache auquel je revenais après des séjours à Bénarès ou Calcutta.

Ce premier séjour en Inde dura 6 mois et fut marqué par d’autres péripéties. Quand je rentrais en France, je poursuivis l’étude et la pratique du Kriya Yoga en étant relié à la SRF à Los Angeles. Les enseignements que je recevais dans ce domaine s’intégraient tout naturellement à ma pratique de l’Astrologie et en constituaient même le fondement. Ils se conjuguaient avec l’enseignement de Germaine Holley et celui de Dane Rudhyar. C’est de ces différentes expériences que, progressivement, s’est développée l’Astrologie que je développe aujourd’hui au sein du CRET.

Retour en Inde

En 1981, je revins à nouveau à Ranchi et passais 6 mois en Inde avec des incursions dans le Sud – notamment à Pondichéry et Auroville sur les traces de Sri Aurobindo – et dans le Nord où je séjournais dans les premiers contreforts de l’Himalaya pour échapper à la saison chaude dans la plaine indo-gangétique. Le village où je restais quelques temps s’appelait Dwarahat, mentionné par Yogananda dans l’Autobiographie. C’est là que Lahiri Mahasaya retrouva son maître Babaji qui lui transmit le Kriya Yoga à charge pour lui de le répandre dans le monde, ce que fut appelé à faire Yogananda en Occident.

A Dwarahat, il y avait un petit ashram tenu par un Swami de l’Ordre de Yogananda et, plus haut dans la montagne, un lieu de retraite solitaire où je passais deux semaines, profitant de l’occasion pour parcourir la montagne et me rendre jusqu’à la grotte de Babaji où ce dernier initia Lahiri Mahasaya. Cette rencontre merveilleuse fait l’objet d’un chapitre de l’Autobiographie : « Un palais enchanté dans l’Himalaya ».

Dans ces montagnes de Dona Giri, fruits d’une péripétie d’Hanuman dans le Ramayana, j’eus l’occasion de rencontrer un français de Dijon devenu saddhu, n’ayant plus aucune attache ni passeport. Cela faisait deux ou trois ans qu’il vivait cette vie de déracinement, allant de lieu saint en lieu saint, d’ashram en ashram, car telle est la loi des saddhus qui ne peuvent rester plus de 3 jours au même endroit pour ne jamais s’attacher. Nous avions, à un an près, le même âge, une jeunesse et une adolescence, une révolte et une quête, nourris à la même culture et à la même contre-culture, et de plus nous venions de régions voisines, tout nous rapprochait et c’est tout naturellement et instantanément que nous fûmes amis. Je lui fis découvrir Rudhyar, dont j’avais emporté quelques livres avec moi pour mieux les étudier. Il fut profondément ému par « The Pulse of life » (« Le rythme du Zodiaque ») que je lui offris quand je fus amené à quitter la région.

A Ranchi, je reçus l’initiation au Kriya Yoga au cours d’une cérémonie typiquement indienne. Ce fut évidemment un moment fort qui marqua mon engagement dans le Chemin qui s’était ouvert à moi deux auparavant dans les circonstances étonnantes que j’ai racontées.

De l’Inde aux Etats-Unis

Ce deuxième voyage en Inde, même s’il fut à nouveau riche d’enseignements, n’était en fait pas prévu. Dans le courant de 1980, je décidais qu’il était important pur moi d’aller voir Rudhyar aux Etats-Unis. Je correspondais régulièrement avec lui mais le désir impérieux de le rencontrer en chair et en os devint de plus en plus fort. Je décidais donc de quitter Paris dans les premiers jours de 1981 et je préparais mon départ pour les Etats-Unis. Rudhyar était d’accord pour m’accueillir, et j’avais pris de nombreux contacts notamment avec l’Université de Chicago. Ma demande de visa pour un an semblait justifiée : j’allais en Californie pour travailler avec Rudhyar sur la traduction de son œuvre. Mon dossier de demande était bien ficelé. Mais, l’ambassade des Etats-Unis me refusa le visa. Sur le coup, je fut désappointé : tout était en place pour mon départ. J’avais même loué mon appartement pour un an. En sortant de l’ambassade, une idée lumineuse frappa mon esprit : puisque les Etats-Unis ne voulaient pas de moi, pourquoi ne pas retourner en Inde? Le visa me fut immédiatement accordé et, dans les premiers jours de 1981, je quittais la France comme prévu, mais pas pour la destination prévue initialement.

Comme on le sait lorsque l’on est sur le Chemin, tout a un sens, rien n’arrive par hasard. Ce que j’ai appris en Inde durant ce deuxième séjour a été primordial dans mon cheminement. Cependant, je ne désespérais pas de voir un jour Rudhyar. En remontant vers l’Himalaya, je passais quelques jours à Delhi. Je me dis qu’il fallait à nouveau tenter ma chance pour les Etats-Unis et j’allais à l’ambassade américaine demander un visa. Que j’obtins sans problème.

Le temps de repasser par Paris et me voilà aux Etats-Unis. J’ai relaté mon séjour dans ce pays à travers ma relation avec Rudhyar. Mais, je fis également d’innombrables rencontres. Particulièrement, je me rendis au siège international de la SRF à Los Angeles, là-même où Yogananda vécut durant 30 ans et enseigna le Kriya Yoga à de nombreux disciples. Durant tout le temps que je passais aux Etats-Unis, je restais en contact étroit avec des disciples avec lesquels je partageais des temps de méditation réguliers.

Yogananda occupe ainsi le cœur de ma vie et son enseignement est au cœur de tout ce que je fais.


Chakra du Coeur

L’Astrologie Transpersonnelle et l’Inde
(Paru dans le « Guide du Yoga et de l’Inde en France » Editions Terre du Ciel)

Bien que les techniques de l’Astrologie Transpersonnelle soient principalement fondées sur les principes de l’Astrologie occidentale, beaucoup d’entre elles sont issues de l’Astrologie hindoue.

Cependant, au-delà de l’aspect technique, la philosophie qui sous-tend l’Astrologie Transpersonnelle est avant tout celle de l’Inde dans la mesure où Samuel Djian est, depuis 1978, un disciple de Paramahansa Yogananda et a été initié à l’enseignement du Kriya Yoga au sein de la Yogoda Satasanga Society of India en Inde et de la Self Realization Fellowship aux Etats-Unis, fondées par Paramahansa Yogananda. Tout en poursuivant et en approfondissant cette Voie, il s’est également nourri des enseignements des grands Maîtres de l’Inde Swami Prajnanpad à travers Arnaud Desjardins, Sri Aurobindo, Ramana Maharshi, Swami Muktananda, Swami Ramdas, Ramakrishna, Ma Ananda Moyee…

La quête de la « libération » et de I ‘« illumination », propre à la spiritualité de l’inde et au Kriya Yoga, est le fondement de toute démarche. Dans cette perspective, le but de l’Astrologie Transpersonnelle est d’éclairer le consultant sur le sens cIe son incarnation pour qu’il puisse s’accorder au mieux au but de son Ame. Elle l’aide à prendre conscience de lui-même, de ses potentialités et des meilleurs moments pour les actualiser. Elle aide ainsi à comprendre le sens des grandes étapes de la vie en les intégrant dans une vision holistique du processus d’évolution individuel, collectif et cosmique. Elle permet l’ouverture à la dimension spirituelle, le passage du karma au dharma, l’alignement de la personnalité sur l’âme.

Le Centre de Recherches et d’Etudes Transpersonnelles propose donc, parallèlement à la formation astrologique, un travail de développement personnel avec le thème natal comme support.

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